Co-responsable du secteur Animation.
Direction Villaret et Animation RH.
Formatrice.
Coordinateur BPJEPS CKDA.
Assistante au secteur animation.
Intervenante scolaire.
Référente Projet Pro.
Référente Ressources humaines - Social.
Co-responsable administrative du secteur Animation.
Intervenante BAFA et Scolaire.
Référente Pédagogie des BPJEPS.
Secrétaire du secteur Formation et Assistante Comptable et Communication.
Appui stratégique.
Coordinateur BPJEPS Éducation à l'Environnement vers un Développement Durable et BPJEPS Activités de randonnées
Coordinateur Projet Pro
Scolaire, Recrutement SV.
Référent Aménagement et Matériel
Technicien Communication et Programmation
Animateur de pleine nature (spéléo, canyon).
Directrice.
Responsable du secteur Formation, référente qualité TH et coordination DEJEPS.
Référent matériel de pleine nature.
Animateur de pleine nature (escalade, canyon, canoë-kayak et randonnée).
Référent CS escalade.
Co-responsable du secteur Animation.
Directeur du centre de Montbrun, BAFA, Activités de pleine nature, groupes extérieurs.
Formateur.
Gestionnaire.
Coordinatrice administrative au secteur Formation.
Assistante comptable.
Assistante du secteur Formation.
En 1984, l'association crée son premier poste salarié, celui de une secrétaire, occupé par Fabienne, en contrat jeune volontaire. Quelques vacataires sont employés de façon ponctuelle.Aujourd'hui l'association compte 16 permanent·e·s et 120 saisonnier·ère·s.
L'évolution s'est faite de manière progressive : les emplois CDI n'ont pu voir le jour qu'après des périodes d'alternance de CDD et de chômage.
De 1986 à 1997, les emplois administratifs ont été sécurisés.
A partir 1998, les emplois jeunes ont permis d'envisager la pérennisation des emplois sur le terrain (animateur, formateur, créateur d'outil pédagogique et PAO).
Aujourd'hui, l’équipe permanente couvre les besoins de fonctionnement de la structure.
Le Merlet s’inscrit dans l’économie sociale et solidaire qui rassemble les mutuelles, coopératives et les associations.
Elle se caractérise par la non lucrativité, une gouvernance démocratique et partagée, une utilité sociale démontrée sur le territoire et auprès de ses publics, elle encourage l’émancipation et la transformation sociale de ses membres et salarié·e·s et s’inscrit dans une démarche de gestion durable